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Raphaël a découvert cette maladie depuis qu’il vit en couple avec L., qui a un diabète de type 1, déclaré à l’âge de 16 ans, il y a une dizaine d’années. Très concerné et encourageant, Raphaël a accepté de raconter leur quotidien pour que son témoignage offre une aide à ceux qui s’y trouvent confrontés du jour au lendemain.
Elle gère tout tellement bien, je suis fier d’elle.
Ce qui m’a le plus impressionné quand je l’ai rencontrée, c’est de découvrir que sa maladie ne l’empêchait pas d’être une grande sportive. Elle joue au hockey et fait du fitness plusieurs fois par semaine. Et elle est tout aussi disciplinée pour son traitement. Elle se contrôle consciencieusement via son application FreeStyle LibreLink.2
Tout est plus rassurant avec l’application.
Avant, elle utilisait le lecteur FreeStyle Libre mais ne l’avait pas toujours sur elle. Maintenant, grâce à son application mobile FreeStyle LibreLink2, elle peut réagir bien plus vite. Via l’app, elle a tout son historique et ses données sont partagées avec sa diabétologue.3 C’est révolutionnaire ! (Quand je repense à mon arrière-grand-père qui se faisait des piqûres dans le doigt toutes les deux heures …)
J’ai aussi téléchargé l’app, par sécurité.
J’ai appris à lui mettre son capteur et à prendre son taux de glucose. J’ai téléchargé FreeStyle LibreLink sur mon smartphone, mais juste au cas où le sien tomberait en panne. Cela me permet aussi de la scanner et de vérifier son taux de glucose lorsqu'elle s'est endormie.
Sa maladie impacte un peu notre vie, mais pas trop.
Lorsque l’on monte se coucher, je pense à prendre de quoi la resucrer la nuit au cas où. Pour le reste, c’est même plutôt positif. Grâce à elle, j’ai acquis une meilleure hygiène de vie. Un régime sans être au régime : des plats beaucoup plus équilibrés et moins d’aliments glycémiques comme le riz ou les pâtes.